Arlequin ou le porteur de mots
Une promenade à la croisée des chemins de science, de philosophie, de littérature, d'art et de culture.

Poésie
(Dis papa, où est le vent?)

Mes petits cailloux blancs

Miró, l'Arlequin artificier
Giacometti, le Phœnix
Picasso, le Minotaure

Poésie (Dis papa, où est le vent?)
Grand-père! raconte-moi l'églantine...
Post-scriptum (à Colombine)

La mélodie de l'eau (Mes mots arcs-en-ciel)
Le porteur d'étoiles (Que Noël est beau...)
Mais plus personne pour le dire

Souvent, mes pas me mènent...
Le promeneur du Stang-Alar

Iroise, mon Armor

Arlequin ou la Couleur du Monde

Entre essence et existence
Les sillons de la connaissance
Lettre à Antoine de Saint-Exupéry
Comment tu t'appelles?

L'irrésistible étoile
Le puzzle de la Terre
La pulsion de vie
L'Histoire a-t-elle un sens?

Chroniques ou Nouvelles



Lettre qu'Albert Camus envoya à son instituteur
au lendemain de son prix Nobel:

19 novembre 1957

Cher Monsieur Germain,

J'ai laissé s'éteindre un peu le bruit qui m'a entouré tous ces jours-ci avant de venir vous parler de tout mon cœeur. On vient de me faire un bien trop grand honneur, que je n'ai ni recherché ni sollicité. Mais quand j'en ai appris la nouvelle, ma première pensée, après ma mère, a été pour vous. Sans vous, sans cette main affectueuse que vous avez tendue au petit enfant pauvre que j'étais, sans votre enseignement, et votre exemple, rien de tout cela ne serait arrivé.
Je ne me fais pas un monde de cette sorte d'honneur. Mais celui-là est du moins une occasion pour vous dire ce que vous avez été, et êtes toujours pour moi, et pour vous assurer que vos efforts, votre travail et le cœeur généreux que vous y mettiez sont toujours vivants chez un de vos petits écoliers qui, malgré l'âge, n'a pas cessé d'être votre reconnaissant élève. Je vous embrasse de toutes mes forces.

Albert Camus


"Au printemps, Tipasa est habitée par les dieux et les dieux parlent dans le soleil et l'odeur des absinthes..."
"A midi, sur les pentes à demi-sableuses et couvertes d'héliotropes comme d'une écume..."
-Albert Camus-

A
D
A I M E R
I
R
E
R

Je rêvais d'une île
près de Tipasa.

Tipasa

J'ai trouvé mon île
tout près de chez moi.

-Arlequin-

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